AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Derniers sujets
» Départ du forum
Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch] EmptySam 10 Sep - 18:55 par Invité

» Nouvelles des partenaires
Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch] EmptyLun 29 Aoû - 21:13 par Invité

» Confidence avec une amie [pv syara]
Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch] EmptyVen 29 Juil - 16:00 par Gabrielle Yamato

» Première rechute.
Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch] EmptyMer 27 Juil - 16:17 par Alexei Mikhaïlov

» une rencontre impromptue (Feat Alexei Mikhaïlo)
Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch] EmptyMar 26 Juil - 23:12 par Elena V. Scaletta

» Discussion.
Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch] EmptyMar 26 Juil - 19:07 par Yuliana Irinukva

» Encore un matin, un matin pour rien ... - Katarina Mikhaïlov
Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch] EmptyDim 24 Juil - 18:16 par Alexei Mikhaïlov

» A dix j'offre un cadeau ?
Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch] EmptyDim 24 Juil - 15:57 par Bella Costello

» Logements - demande et annuaires
Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch] EmptyDim 24 Juil - 15:39 par Gabrielle Yamato

Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal

 :: La Préfecture :: Présentations Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch]

Taïga Launwitch
Taïga Launwitch
Messages : 2 Je suis arrivé(e) le : 12/06/2016 Actuellement je suis : Veuve Je travaille comme : Leader des Hearstone Niveau Social : Riche
Mer 13 Juil - 19:26


Taïga Launwitch

Ma vie n'est pas à prendre et mon âme n'est pas à vendre !


Nom : Launwitch
Prénom : Taïga
Âge : 31 ans
Date de naissance : 31 août
Situation familiale : Veuve et mère de trois enfants
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Métier : Leader des Hearstone
Habitudes : Composer ○ Ecrire ○ Interpréter
Groupe : Civil
Avatar : Cinder Fall (RWY) - Natasha Nevagonlis (Carmilla)

Physique


Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch] Uygijo10

La jeune femme possède une morphologie assez menue, ne mesurant qu’un petit mètre soixante qu’elle compense souvent par des talons ou grosses chaussures. Sa peau est très pâle, avec des traits fins au visage de forme ovale de par ses origines asiatiques coréenne et japonaise. Avec une poitrine plutôt généreuse, Taïga est fière de son corps avec ses hanches aux délicieuses courbes. Ses lèvres luxueusement rosées et fines soulignent la proéminence de canines qu'elle avait limé durant son adolescence à cause d'un pari stupide. Son nez ne possède pas un trait particulier, mais il orne subtilement ses yeux en forme d’amande d’un vert profond et brillant comme si des cristaux luisaient qui lui avait valu le nom auquel sa mère l’avait baptisé : Taïga. Sa chevelure est d’un châtain clair aux reflets dorés, lisse et lui arrivant au milieu du dos. Des mèches rebellent lui arrivent au visage quand elle ne prend pas la peine de se coiffer. juste de ramener sa chevelure sur le côté droit de son épaule.

          ¤ Autre : Elle possède sur elle deux tatouages, l’un est sur son omoplate gauche représentant son symbole qui dépasse sur son épaule, bras et nuque en filaments noires. Avec la couverture d’un album de son groupe préféré, remixé à sa façon avec d’autres dessins. Cette marque s’est faite à deux stades, son symbole à sa jeunesse, puis l’ajout après son retour lors de sa disparition. Le deuxième tatouage lui a été faite juste avant sa disparition, elle fait faire son logo sur sa hanche de droite qui dévie légèrement vers son entre-cuisse en forme de ronce de rose rouge. Un autre lui orne le tour de cou en forme de tribal et d'autres formes sur ses bras. Elle porte comme arme son Katana et son Browning Hi-Power 9 mm, ainsi que d'un kit de deux poignards, mais qu'elle ne porte que rarement.

Taïga aime tout particulièrement les lingeries affriolantes et luxuriantes aux couleurs sombres, elle s’en pare toujours. Sa panoplie pouvait aller à une veste en cuire, au pantalon et à un haut de couleur sombre, noire de préférence. Des Dr Martens noires, des New Rock montantes ou bottes à talons dans le style victorien remplaçaient ses baskets de ville. Des accessoires tel qu'un bracelet de force ou des bijoux en argent ou or blanc l’accompagnent très souvent. Elle ne se séparait toutefois jamais de son pendentif, qui est un médiator noir en métal, où son nom était gravé en or blanc avec le logo de son groupe de Metal préféré juste en dessous. Il avait pour elle, une très grande valeur sentimentale, ayant été son cadeau de Noël par Daniel, son oncle.
Bien qu’elle aime ce côté cuir sexy et moulant, Taïga adore tout particulièrement se vêtir par de la dentelle subtile dans un genre plutôt gothique mais de façon modérée, ou encore par de simples tailleurs sexy. C’était pour elle une façon d’être féminine. Mais elle arbore aussi ce qu’elle appelle à l’américaine metal, avec une chemise à carreaux déboutonnées aux manches retroussées jusqu’aux coudes. Un bracelet de force en cuir noire et un autre plus fin ayant son signe astrologique à l’autre poignet, tout en gardant son collier fétiche. Elle avait toujours un jean plutôt délavé ou troué, et toujours accompagné par ses Dr Martens en cuir noir avec la coque renforcée au bout. C’était sa tenue décontracté.

Elle possède deux tatouages sur ses biceps en plus de son piercing au téton gauche, sur le bras droits des corbeaux en vol, noir et sur le gauche, le crâne de squelette d'une panthère avec des rose de manière luxurieuse.

Caractère

La jeune femme est du genre à croquer la vie à pleine dents se qualifiant de metalleuse, ne voulant laisser passer aucune opportunité pour en profiter. Ayant le goût du risque, elle n’hésite pas à foncer dans le tas bien qu’elle soit un peu plus réfléchie depuis ses dernières années. Le mot « passion » pourrait être son deuxième prénom, dans tous les domaines quels qu’ils soient. Émotive et sensible, Taïga ne cherche pas à retenir l’affection qu’elle porte envers son entourage le plus proche, de feu son mari jusqu’à sa descendance. Sa vie se résume à sa musique et à ceux et celles à qui elle tient. C’est une femme fougueuse et passionnée à l'esprit grand ouvert, qui était épanouie avec feu son mari. Il l’a intrigué et qui ne cessait de la fasciner par son côté doux et sauvage à la fois. Faisant preuve de spontanéité, elle n’arrête pas d’improviser des choses affriolantes et farfelues pour celui qu'elle pourrait aimer et désirer. Toutefois, elle accepte avec amertume ces moments de douceur qu’elle a pu partager avec Volker. Car bien qu’elle puisse être un vrai feu crépitant et explosif aimant de temps à autre dominer, son amant avait su la dompter dès leur première étreinte à se montrer dominant. Et elle ne pense pas qu'un deuxième puisse exister, l'amour lui semble étranger.
Dotée d’une grande créativité, Taïga cultive sans cesse son imagination par ses lectures, la musique et son quotidien. On peut lui reprocher de se perdre assez souvent dans ses pensées ou encore son monde, mais c’est là où elle se réfugie quand elle traverse des périodes assez dures. Dans ces moments-là, elle se retrouve seule, ne réclamant qu’en silence celui qu’elle aime au plus profond d'elle malgré même le deuil fait. La solitude ne lui allait qu’à petite dose, mais lors de sa séquestration pendant plusieurs années, son cœur s'était irrémédiablement durcit et assombrit. Il lui arrive encore de se demander s’il lui restait un peu de bonté en elle, car elle se répugnait de savoir ses mains pleines de sang. Colérique malgré sa douceur, Taïga ne peut nier cette fascination pour le feu qu’elle a. Dans sa nature, c’était son élément de tous les jours. Elle aime l’action de ses entraînements, la traque à l’homme, l’adrénaline que lui procure le sexe que son amant parvenait auparavant à canaliser et le danger, sans oublier sa musique.

Taïga n’est pas du genre à s’intéresser au pouvoir ou à la richesse, l’indépendance est une voie qu’elle désire plus ardemment. Les autorités ont tendance à se méfier d’elle, et cette dernière en fait tout autant pour échapper aux conditions formelles des normes et valeurs pour ne suivre que se propres règles, jouant avec le feu. Et elle déteste encore plus la mafia, montrant aux deux camps qu'elle est capable d'avoir son propre territoire, sa famille, à elle, qu'on y touche pas. Ainsi, elle n’est du genre qu’à compter sur ses amis ou sa famille, son vécu l’ayant prouvé que le monde ne pouvait qu’être mauvais malgré son bon sens. Elle ne fait que ce qui a de l’intérêt pour elle, et ainsi prendre du recul par rapport aux autres en ayant un orgueil et un égo assez fort. Possessive, elle n’aime pas partager ce qui lui appartient. Espiègle bien que maladroite, Taïga sait pertinemment que cela pouvait faire partie de son charme, bien qu’elle puisse les considérer comme des défauts, aussi qu’elle puisse bégayer en étant gêner. Son arrogance est sûrement aussi ce qui désespère le plus sa sœur jumelle.


Qualités : Câline, curieuse, créative, une très bonne amante, attentionnée, douce, n'a qu'une parole, originale, spontanée, énergique, fougueuse, passionnée, fantasque, aimante, créativité, honneur.
Défauts : Impulsive, cynique, sardonique, anti-conformiste et anti-populaire, violente, colérique, sombre, rancunière, vengeance, possessive, rebelle.

Vices : Orgueil - Envie - Colère - Luxure - Gourmandise - Insouciance - Vantardise - Maladresse - Possessivité - Addiction : Pyromanie.

Vertus : Force d'âme - Justice - Imagination - Protectrice - Débrouillarde - Bienveillance - Loyauté - Intelligence.

acidbrain




Derrière l'écran
Pseudo : Taïga
Prénom : Taïga 8D
Âge : Taïg-... //SBAFF// 18 ans
Pays : France
Fréquence de connexion : Fréquent
Inventé ou scénario : Inventé 8D
Commentaires : Enfinfait... xD
acidbrain




Histoire




C’est sur une petite île dans le grand archipel japonais à l’Est d’Osaka que j’ai vu le jour, le 31 octobre. Je me rappelle que ma mère m’ai dit qu’il avait étrangement neigé au moment où je suis sortie de son ventre. Elle avait accouché dans un cercle familial très rapproché dans la nature, et refusait catégoriquement d’aller à l’hôpital. Un grand arbre dénué de ses bourgeons rosés dominait l’ensemble de l’espace qui avait été très vite recouvert d’une fine pellicule blanche poudrée. Il faisait déjà nuit. Mon entourage était là : une vielle femme aux vêtements démodés qui semblait être une sage-femme, mon frère, mon père, et mon oncle.
Ma mère était une douce femme, d’origine japonaise. C’est d’elle que je tenais la forme de mes yeux légèrement en amande, de ma peau pâle et de mes traits fins. La caractéristique de ma famille tenait plus de mes yeux d’un vert sombre et riche, celui d’une forêt dense dans un milieu d’un blanc immaculé et perdu. Taïga, voilà pourquoi ma génitrice m’a baptisé ainsi. Taïga Launwitch est ainsi née.

Les premières années de ma vie se sont écoulées en Pologne, dans le pays natal de mon père, Nikolaï. Nous vivions telle une bonne famille de la classe moyenne, ma mère peignait beaucoup et s’occupait de ses enfants alors que le maître de la maison travaillait en tant que directeur commercial dans une grande boîte privée d’optique. Nous nous sommes intégrés facilement, mais restions un peu à l’écart dans notre maisonnette aux abords de la forêt en bas de grandes montagnes. Mon père me filtrait ma ration de nourriture dès que je brisais les règles. J’ignorais à l’époque la violence qui existait entre ma mère beaucoup plus vieille que mon père, mais ça n’a pas empêché ce dernier de la contrôler par un moyen méconnu. Comme s’il la tenait en laisse, nous étions sûrement des otages pour lui. Nikolaï était très dur avec nous, tout comme mon frère Warren qui nourrissait une certaine jalousie envers mon moi, et pourtant il me protégeait aussi contre les autres. Pour ma part, j’ai toujours pensé que mon frère était très impulsif, violent et colérique, ne réfléchissant ainsi qu’après avoir explosé. Les disputes avec Warren n’étaient pas toujours de simples chicaneries, le sang avait très souvent coulé avec des objets qui volaient dans tous les sens. Ce dernier me devait d’ailleurs un mannequin de dessin, une manette de console, un nouvel ordinateur et d’autres trucs divers. La violence de nos altercations ne faisait que de s’agrandir au fur et à mesure des années, et je devenais petit à petit l’objet de son défouloir de façon moral et physique. Je soupçonnais ma mère de se cacher, de peur de recevoir les coups de mon père, il avait définitivement trouvé le point faible de ma mère pourtant très forte, sûrement l’amour ? Ce qu’elle était faible de ce côté-là.

Mon père me réprimandait très sévèrement en me privant de nourriture, ou encore en faisant preuve d’ignorance quand mon frère commençait à me battre. La situation a très vite dégénéré, entre la violence et dénigrement de mon frère et de mon père, mes disputes avec Warren et le fait que mon géniteur battait ma mère. Notre isolement m’inquiétais de plus en plus, je me rendais compte que mon père rentrait souvent ivre, ou bien en un sale état. Cet homme parti le jour de mon anniversaire sans demander son reste, tout comme Warren et on ne les a plus jamais revu avant longtemps. J’avais huit ans à l’époque, et ne comprenais pas encore les dégâts qu’allaient causer leur départ.
Cela commençait par le fait que je n’ai jamais voulu me plier aux ordres de mes parents, ou du moins j’adorais jouer avec le feu du sens littéral au figuré. Cela avait toujours horripilé Nikolaï, et cela ne s’arrangeait pas certainement pas quand je commençais la guitare classique à mes sept ans.
Finalement, je menais une vie plutôt heureuse, ma mère m’élevait.

Je me suis découvert une véritable passion pour la musique, et surtout pour le Metal. Je me rappelle avoir écouté Master Of Puppets, cela m’avait radicalement changé, j’apprenais à vivre sous une autre vision de la vie. Le metal, c’était une création de l’humanité qui m'avait énormément plu, et je m’éveillais moi-même. Je gardais néanmoins cette naïveté et gentillesse, que j’accordais à mon entourage. Une vie d’un semblant normal, jusqu’à mes quinze ans où"il y eu ce putain d'événement qui fit basculer ma vie à tout jamais.
Je rentrais d’une journée de répétition, épuisée mais contente tout de même de mon travail. Seulement, j’avais le sourire qui avait très vite disparu quand mon cœur semblait imploser de l’intérieur. Je m’étais écroulée au sol, et ne me souviens plus comment j’ai fait pour atterrir chez moi dans les bras de ma mère. J’étais comme vidée, ou drainée de mon énergie. Des individus m’avaient arraché de ma génitrice et la frappaient, elle aussi fatiguée. Je me débattais en hurlant, c’était des mercenaires de la mafia japonaise, en Pologne !
La fureur fusait dans mes veines, chaque battement de cœur était comme la claque d’un fouet virulent en moi. Je tentais de m’enfuir, en vain.

J’entendais ma mère lutter. Agonisant dans son sang, les hommes s’étaient jetés sur elle, la mutilant dans ses hurlements. Je l’entendais maudire mon père, et le nom d’une femme que je ne connaissais pas (je n’ai su que plus tard, qu’elle était en réalité la sœur de ma mère, l’amante de mon père). Ils profanèrent son corps, et n’ont pas tardé à s’occuper de mon cas. Je tremblais de tout mon être, le cœur éclaté par cette peine brûlante et amère, comme si une partie de moi mourrait –et s'en fût sûrement le cas-.
Ils m’interrogèrent malgré tout, et j’apprends alors qu’ils recherchaient mon père, un terroriste de la Corée du Nord, ils cherchait à se venger car il avait apparemment assassiné le fils du parrain de ces yakuzas. Nous n’étions qu’une couverture pour lui, et c’est là que la révélation m’a frappé de plein fouet. Il avait fait d’une pierre deux coups, il me voulait vivante pour ses propres intérêts. Nikolaï était parti avec mon frère pour sauver sa peau, faisant un vrai lavage de cerveau à Warren en se servant de la jalousie qu’il nourrissait envers moi. Il s’était servi de ma mère, retournant contre sa femme l’amour qu’elle lui vouait. Mon père m’a caché l’existence d’une autre sœur. Dans ma famille, les jumeaux étaient très récurrents pour une raison qu’on ne saurait expliquer tout comme nos yeux. Et bien que je sois l’aînée féminine, j’avais eu une sœur jumelle qui s’appelait Saaya. Les mafieux l’ont sorti de la cave, elle était dans un état pitoyable, et j’avais l’impression de me voir dans un miroir quand je l’ai vu pour la première fois. Sauf qu’elle était beaucoup plus sombre, rembrunit et froide. Moi qui ne connaissais pas le froid, j’avais ressenti un frisson de cette nature tout le long de mon échine. Elle gisait lamentablement, soutenue de chaque épaule par les bandits, mais elle n’avait d’yeux que pour moi. La même chevelure, bien qu’un peu plus sombre et plus longue, mais aussi lisse et de couleur châtain. Ses prunelles étaient d’un vert très pâle, miroitant avec des reflets bleutés ou peut-être le contraire ?
J’ai écarquillé les yeux d’horreur. Les agresseurs ne pouvaient plus rien attendre de moi, car je ne répondais plus de rien. Comme connectée à cette fille, je lisais en elle. La froideur des ténèbres hurlait en elle, quelque chose de primitif.

Je me suis réveillée blottis contre une fourrure brune, chaude et confortable. Le chien de mon oncle, j’agrippais fébrilement ses poils en tremblant de froid. Ou était passée ma soeur ?
Malgré le drame qui avait frappé ma famille, je n’ai pas cherché à me venger, privilégiant mes études et mon propre épanouissement.
Je suis parvenue à fonder mon propre groupe de musique, associant ma fougue et ma passion pour la musique dans le Metal. Au fur et à mesure des années, je gagnais en prestige. Daniel était devenu mon rival, car il était un très grand jazzman avec son saxophone. Violence vigoureuse et passionnée des concerts, la fougue luxuriante et sensuelle envers les hommes, puis enfin par de très durs entraînements, voilà ma vie.

C’est durant cette période que j’ai rencontré un drôle de jeune homme. Il était l’équivalent d’une cowgirl de luxe américaine, mais il s’agissait d’un remake masculin japonais. Extrêmement beau, il s’appelait Velkan Lockman. Nous avions couché ensemble dans un hôtel luxueux à Tokyo, mais ça ne devait durer qu’une nuit. Son chemin avait croisé le mien à plusieurs reprises, et nous avions commencé à nous fréquenter. Que ce soit aussi bien au lit qu’en vrai, je pense que j’ai eu le coup de foudre pour ses cheveux couleur sang et ses yeux d’un bleu ciel fascinant. D’accord, j’avoue que ses ronronnements de plaisir me rendaient folle, ainsi que sa fougue et sa domination au lit !
Cet homme... était schizophrène, étant Volker Michiharu en réalité il avait teint ses cheveux et portait des lentilles.
Malgré les apparitions incongrues de cet "inconnu", le temps passait et je commença à freiner ma carrière musicale. J’ai ainsi ouvert ma petite boutique de musique, m’installant avec Velkan dans une banlieue japonaise bordant Tokyo. Le jeune chaton avait lui aussi abandonné sa carrière de gigolo, et ce depuis que son patron lui avait fait passé un sale quart d’heure.
Le temps s’écoulait, je menais une relation stable avec Velkan malgré nos disputes assez vives pour nous retrouver passionnément et avec fougue au lit. J’adorais papouiller ce chat, il était mon point faible et mon petit bonheur. Il était professeur d’informatique, et hacker à ses heures perdues.
Notre vie fut bouleversée par l’arrivée de mon premier enfant, c’était un garçon, et nous l’avions baptisé Takehiko. Quelques temps plus tard, j'ai donné naissance à mon second enfant : Thaïs. Une fille.

J'avais reçu un jour une lettre de menace, c'est alors que le lendemain je croisa mon père au magasin, il ne m'avait pas reconnue ce jour là. Deux ou trois jours plus tard, j’ai retrouvé une lettre attestant que je devais coopérer avec la CIA. Si je ne le faisais pas, ma famille était en danger. Je ne donna pas suite.
Ce fut une horrible erreur de ma part, car ils avaient attendu le bon moment pour m'enlever. Je me suis réveilla dans un endroit stupéfiant et froid, dans un état déplorable. Pour recouvrir ma liberté, je devais les aider, afin de participer à l’exécution de mon père. Je n’avais pas le droit de faire appel à Daniel, ni à aucun contact extérieur. Par défaut, je suivies alors une formation très difficile et ardue pour devenir une femme redoutable toujours en captivité, le moindre faux pas m’aurait valu la perte de ma famille. Et tout ceci pour tuer mon géniteur.

Une haine grandissait en moi. J’ai su gagner un semblant de confiance au bout de deux ans de captivité, mais je redoutais d’avoir atteint un point de non retour. Je ne pouvais oublier mes enfants et mon petit ami, qu’étaient-ils devenus depuis tout ce temps ? Qu’avait fait Velkan en apprenant ma disparition ? Avaient-ils la moindre information me concernant ? Pensaient-ils que je les avais quittés ? Reviendrai-je au moins ?
Toutes ces questions me hantaient, me rendant encore plus amère.
Le jour tant attendu arriva, mais j’avais perdu la notion du temps, perdue dans ma routine. Un mur se hérissait autour de mes sentiments, seule une raison froide et implacable commandait mon cerveau éteint. J’étais en Corée du Nord, dans un hôtel miteux, mon père devait avoir rendez-vous avec un de ses lieutenants, et j’avais spécialement réservé ce moment à la fête des pères.  La surprise s’était lue dans ses yeux au moment où il avait fermé la porte, et après une brève discussion je l’avais exécuté. Je l’avais ensuite criblé de balles de mon arme de poing. Laissant ma haine me dicter ce que je devais faire. Je n’avais plus conscience de rien, seule la vengeance m’importait. J’avais du sang sur les mains.
Velkan avait disparu de mes pensées comme mes enfants, je n’étais qu’une femelle de l’ombre, une créature silencieuse, rapide, froide et tueuse. Je brûlais de milles feux, en prise avec tous les péchés que j’aspirais en moi, mon cœur continuait malgré tout à s’effacer derrière un mur. Cette folie avait fini par disparaître, j'étais arrivée dans les pays orientaux. Je ne savais pas comment j'étais arrivée en Egypte. Un voile noir qui n'avait jamais voulu se dissiper.

Je fus obligée d’abolir cette démence, puis j'avais repris conscience dans un hôpital. Avec Daniel et par une étrange femme aux yeux bleus d’où je voyais en elle, des reflets verts. Elle les niait, mais je les voyais quand même, seuls ses cheveux avaient beaucoup foncé. Ils étaient tous perchés sur ma tronche, j’étais totalement perdue.
Même si c’étaient de bonnes retrouvailles, la plus dure restait celle que je n’avais pas revue depuis mes quinze ans. Même si j’étais encore plus faible qu’elle en ces heures et que j’avais beaucoup maigri, le simple fait de savoir que j’avais tué plusieurs âmes juste pour buter mon père lui avait arraché un sourire sardonique. J’avais plissé les yeux de méfiance, et nous nous étions disputées sur ma perte d’humanité. Je refusa de croire que j’avais pu être l’auteure de tout ce massacre, mais elle me disait que c’était inévitablement moi et personne d’autre. Elle, n’avait pas connu le bonheur depuis sa naissance, enfermée dans une cave et maltraitée par mon père. Elle s’était construit une carapace, une être obscure et d’une beauté fatale s’abritait derrière ces perles nacrées. J’avais même connu l’amour au contraire de Saaya, et pour cette dernière, seule la solitude était sa compagne. A deux fois où l’une de nous était proche de la mort, l’autre était là. Bien que j’étais l’aînée, c’était toujours elle qui atterrissait dans mon champ de vision pour me sauver d'une mort incertaine. Je détestais qu’elle puisse me voir seulement là où j’étais la plus faible, et elle en était persuadée. Malgré ces tensions, nous finissions par nous enlacer.

Quant à moi, j'étais de retour au Japon, en direction de l'ancienne maison familiale. La déception et une peur s’empara alors de mon cœur, ma demeure avait été laissée à l’abandon. La mafia japonaise me trouva très vite, elle avait la preuve que mon père était mort. La mafia m'offrit une jolie récompense. Et ceci en bonus d'avoir été graciée par l'Etat Américain.
Les jours passaient, et j'ai finis par LE revoir un jour au parc. Je l'interpella et avec aigreur, il se présenta poliment à être Volker Michiharu, et m'avait remarqué avec un certain dédain que j’étais l’ancienne petit ami de Velkan Lockman. Velkan était schizophrènes...

Mes débuts avec Volker étaient compliqués, bien qu’il connaissait mes sentiments, ce n'était pas gagné. En dépit des circonstances, j'atteignais,in fine, le coeur du félin. Une attirance électrisante et passionnée s’était très vite éveillée entre nous, et ce malgré la présence d'un fossé. J’avais volé le premier baiser à Volker un jour où il était dans la cuisine en regardant par la fenêtre. J'étais arrivée avec un présent de Thaïs, nous avons brièvement parlé, mais je n’avais âs pu résister à la tentation de l’embrasser juste avant de partir en courant pour aller travailler. Je l’avais vu sourire derrière le trou de la porte, toute rouge. C’était la première fois que je voyais une preuve concrète de ses sentiments, je me sentais stupide comme une collégienne. Avec lui, je rajeunissais plus que l'âge que j'avais réellement.
Volker n’aimait pas certaines choses et il m’avait très vite détrompé dans mes illusions. J’avais dû tout reprendre à zéro, qu’importe qui il était, je ne voulais plus jamais le laisser partir. J’ai pu tout lui avouer, mon enlèvement, la traque jusqu’à mon escapade en Egypte. Quelques jours plus tard, j’ai retrouvé cet homme un soir alors que nous étions seuls. Je l’avais touché pour une raison quelconque, enfin cela n’avait rien de sexuel, mais il avait réagit tout autre. Il tremblait et m’avait vivement rejeté en se couvrant la bouche de sa main en me tournant le dos, je m’étais inquiétée en l’agrippant. Il me plaqua contre le mur, mon sang n’avait fait qu’un tour et nous nous regardions sans rien dire avant qu’il dévia lentement ses lèvres pour me lécher la gorge. Je frissonnai, gémissant subtilement en réponse à la contraction de mon bas-ventre tout en m’arquant contre lui. Il continua son manège avant de m’embrasser pour de bon, mon cœur s’emballa et je m’abandonnai à lui en nouant mes bras autour de son cou. Ses mains s'étaient glissées sous mon haut en me déboutonnant la chemise, un soupire d’aise s'échappa de mes lèvres alors qu’il m’embrassa délicieusement la poitrine. Rompant le baiser, le jeune homme se rembrunit en s’écartant et je faillis prendre congé, furieuse, accusée de le manipuler pour mon propre désir. Je retournai auprès de Volker, silencieuse mais déterminée tout en me rhabillant. Il pensa que je l’avais chauffé, enfin d’après ses dires, je ne savais même plus si cette conversation avait un sens. Je reboutonnai mon chemisier, mais le jeune homme m’agrippa vivement la main en la tirant tout en me dévorant intensément du regard. Je déglutis en rougissant, Volker m'empêcha de me revêtir. Je ne pus formuler de phrase, qu’il ait plaqué mon corps à lui avant de me déposer un baiser doux et timide, je répondis sans hésiter. Très vite la situation dégénéra, par un plaisir décadent, je ne portais presque plus rien sur moi. Dans ce tourbillon de plaisir, sous sa domination exaltante, il m'avait dit trois mots que je ne pensais plus jamais pouvoir réentendre. Chuchotement bref : « Je t’aime… »
Sa bouche contre mon intimité m'arracha un orgasme fulgurent et je ne jurai que par son nom, une prière incantatoire. Effondrée tout contre lui et pantelante, je lui retournai mes sentiments. Quelques caresses et baisers plus loin, il me demanda ma main alors qu’il s’unissait en moi, et je donnai un coup de hanche en harmonie avec le sien en guise de réponse. Douce et délicieuse vertue qui ne jura que pour unir nos âmes, la passion de l'aube au crépuscule enivrait mon coeur.

Je fut l'épouse de Volker : Taïga Michiharu, et j’avais pu vivre avec mon chat tout en éduquant ma descendance sous le même toit, dans une fougue inassouvie au lit. Je pouvais enfin respirer, dans les bras de mon mari même si ce n’était pas toujours facile.
C’est durant cette période, que Daniel avait perdu sa femme pour en retrouver une deuxième, il me vouait toujours sa protection. Il avait eu une fille, Justyna, qui était un peu plus jeune que Thaïs. Toutefois, il fut veuf lorsque sa deuxième épouse fut assassinée, par un homme nommé Faust. Saaya me rendait souvent visite, j’apprenais aussi l’existence de mon demi-frère, Ash Hewitt, le fruit d’une relation extraconjugale de mon père avec ma tante. La seule chose qui avait perturbé notre tranquillité était Warren, je n’avais jamais su ce qu’il avait fait ces dernières décennies. Toutefois il était revenu le sourire aux lèvres pour moi, il en était dingue et j’étais heureuse de le retrouver. Malheureusement, sa jalousie s’était convertie en obsession. Volker était aussi possessif et jaloux, mais je le vivais plutôt bien et s’était justifié. Mais quand mon frère aîné avait apprit que j’étais mariée, il péta un câble.
Je vis mon frère laissé pour mort par Volker, avant qu’il ne retourna sous l’aile protectrice de Saaya. La connaissant, elle l'avait utilisé comme un jouet pour ses propres intérêts, je pouvais dire que mon frère était perdu et confondait la fiction du réel. J’étais contre la politique de Saaya, mais c’était comme une vengeance pour elle.

Nous étions allés vivre en France, mon fils était un autiste bien que ma fille était beaucoup plus saine,  il lui fallait des soins. Je n’ai que très peu de souvenirs de ce temps-là, mais mon mari avait fini par mourir d'un cancer. J’avais perdu la notion du temps, car Takehiko était à son tour mort. Je l'avais eu assez jeune, et perdre un enfant pour une malformation dans le cerveau en plus de son autisme juste après son mari, ça m'avait détruit.

J'avais rejoins Daniel en Angleterre pour essayer de vivre, avec ma fille, j'avais trop perdu. Je m'étais installée avec lui à Londre et j'avais ouvert mon magasin de musique grâce à l'argent de mon boulot en Corée. Mais c'est dans cette période que ma petite cousine, tua son propre père devenu fou par la mort de sa dernière femme. Elle était jeune, je lui avais tout appris. J'étais revenue du travail quand ils l'ont emmené. J'y vis un homme, Amanite de son nom.

Ils avaient arrêté Justyna, et j'apprenais par mes relations, l'existence du projet Neko Criminal. Je m'apprêtai à me rendre à l'île, pour venir sauver ma cousine, en tant que citoyenne. Mais je fus arrêtée à mon tour par la police. Pourquoi ? Parce que j'avais perpétré le meurtre de mon père... putain ! Et pour implication dans la mafia japonaise ? Mais j'avais pourtant été graciée pour service rendue à l'Etat !
Malgré tout, j'ai eu le choix, mort ou ... ? Bordel. Je choisis mort, je n'en pouvais plus. J'ai de nouveau revu cet homme, Amanite, ce scientifique. Il me tortura. J'avais pu m'enfuir. Amanite m'avait violé, j'étais enceinte. Un an... tout cela avait duré un an. J'avais accouchée après être rentrée à la maison, et j'étais avec mon fils Eden, d'un an. Ma fille m'avait rejoint. Je vivais dans les quartiers. Ayant fondée un nouveau groupe de musique. Amanite ? Je le voyais à la télévision, célèbre généticien, et moi j'étais à l'autre côté, remplissant les documentaires musicaux.

Nous avions beaucoup voyagé. Je ne pouvais élever Eden sans en payer le prix. Je n'étais pas une femme au foyer, alors j'avais tout confié à ma fille et un jeune homme que j'avais sauvé de l'emprise d'une mafia russe. Akiko, un jeune japonais. Il m'aimait, mais savait que ce n'était pas réciproque. J'avais beau avoir refuser qu'il vienne avec moi, je n'avais pu résister. Partir en Amérique, faire des tournées, je ne vivais que pour ma musique et Akiko, je revenais de temps à autre voir mes enfants, mais sans plus. Chicago, me voilà. J'ignorais tout de son contexte, mais étrangement, j'aimais cette ambiance sale et malsaine.

Avec Hearstone et ma réputation qui me précédait, j'avais pu m'intégrer, et je faisais souvent des concerts, même dans les bars. Que ce soit du jazz en solo ou jusqu'au metal en passant par du bon rock. Je vivais, enfin... seule, indépendante, célibataire et forte. Faisant la Une des magazines culturelles.
Il y avait la mafia qui était très présente, mais tant qu'on ne découvrait pas mon lien avec les mafias et ni l'assassinat de mon père en collaborant avec la CIA, j'étais tranquille. J'étais à la retraite et tout allait bien. Un vide était présent en moi, mais je ne savais pas encore quoi, cependant, j'avais ma musique. Et Hearstone mon bébé.

Famille : ¤ Nikolaï Launwitch ; c'était le père de Taïga, Polonais et Coréen d'origine, c'était un terroriste de la mafia coréenne qui était l'auteur du déchirement de sa famille. Il fut tué par sa propre fille intégrée dans les forces américaines par vengeance. Il n'était pas très grand, blond aux yeux marrons, et seule sa peau pâle est l'héritage que la jeune femme avait gardé de lui.

          ¤ Warren Launwitch ; frère aîné de Taïga, elle ne savait pas ce qu'il était devenu après que sa sœur jumelle l'avait pris sous son aile. Il était plus grand que Taïga, blond comme son père avec des yeux verts tachetés de noisette. Il était parti avec son père, avant de revenir et provoquer le mari de sa soeur en combat de rue. Il était jalousement possessif avec elle, et il ne pouvait pas encadrer Volker. Mais avant que ce dernier n'ai pu le tuer, la soeur de Taïga était intervenue pour le prendre avec elle.

          ¤ Saaya Launwitch ; soeur jumelle de Taïga, elle possédait la même morphologie, étant toutefois plus musclée qu'elle. Sa chevelure était plus sombre et ses yeux avaient un étrange mélange de vert et de bleu, lui donnant une couleur glacial. Si Taïga était le feu, alors Saaya était la glace, exacte opposée de sa soeur. Toutefois, cela n'empêchait pas les soeurs d'être étroitement liées l'une à l'autre.

          ¤ Volker Michiharu ; bien que mort, c'était le mari de Taïga. Il avait une longue tignasse d'un rouge bordeaux sauvage et indomptable. Il était un japonais aux yeux bleu mordorés. Sa femme l'avait toujours comparé comme étant un fauve en cage, leur relation était aussi étrange que fusionnelle. Il était schizophrène, étant un peu plus jeune qu'elle.

          ¤ Takehiko Michiharu ; mort lui aussi, c'était le fils aîné de Taïga et qui était un autiste. Il avait la même chevelure que son père malgré le fait d'être châtain, il avait hérité de la peau et yeux de sa mère.

          ¤ Thaïs Launwitch ; ayant repris le nom de sa mère, elle avait une chevelure d'un rouge sang, légèrement bouclée. Elle était encore jeune, mais était déjà très observatrice et intelligente pour son âge. Elevée par sa mère et son grand oncle, Daniel. La petite possédait un amour très fusionnel avec sa mère.

          ¤ Daniel O' Conner ; Il faisait partie de l'autre branche familiale, ayant perdu son frère, il veillait sur sa nièce comme la prunelle de ses yeux. Saxophoniste, il était un rival envers Taïga. Un homme intriguant qui aimait les femmes mais qui ne montrait jamais sa vraie personnalité. Il avait les cheveux d'un brun foncé et bouclés aux yeux d'un vert profond comme sa nièce. Une carrure plutôt athlétique à la peau pâle. Il fut tué par sa fille Justyna, devenu fou.


          ¤ Eden Launwitch ; C'était le dernier fils de Taïga, il fut enlevé à sa mère dès sa naissance mais elle pu le récupérer, il grandit sous la tutelle de sa soeur, heureux de voir sa mère chaque fois qu'il la voit.

          ¤ Damon Roche : ancien tuteur dans la CIA, il a tout appris à Taïga, il aime et fait parti actuellement de son groupe en tant que batteur dans le groupe Hearstone. Un look de rockeur en privé et de costard professionnellement.

Inventaire
Armes à feu : Browning Hi-Power 9mm
Armes blanches : Deux poignards
armes exotiques : Katana familial
Equipements : Zippo caché sous la semelle de ses Dr martens et des holsters pour ses armes.

acidbrain

Le Shérif
Le Shérif
Admin
Messages : 11 Je suis arrivé(e) le : 03/11/2015 Actuellement je suis : Célibataire Je travaille comme : Shérif de Chicago
Dim 17 Juil - 16:21
Enfin finie après une longue lecture, j'ai du m'y reprendre a plusieurs fois xD

Bon commençons par le commencement. C'est une bonne fiche détaillé et relativement bien écrite, ce qui me pose problème c'est que pour une civile, tu trempe dans la CIA, la mafia, tu sauve des gens de l'emprise de mafia Russe sans aucune répercutions derrière, enfin voila tu as beaucoup de lien avec mafieux ou flics pour n'être qu'une simple civile.

Je te propose deux alternative :

1) Tu passe plutôt dissendent avec pour lien tes anciennes relations mafieuses et CIA sous couverture. Ce qui parait plus logique tu fait l'impression d'être civile mais tu cache un tout autre passé et au vu de ton équipement, aucun civil ne se ballade avec un flingue + katana + poignard.

2) Tu allège un peu ton histoire du fait d'avoir été avec la mafia chinoise, CIA, graciée état et autre truc du genre. Que tu apprenne que ton père était l'un deux mais que tu cherche a te venger cela reste légitime, tes péripéties avec Volker et Amanite pourquoi pas même si cela fait "lourd" à mon goût mais sa passe encore.

Si tu veux être civile je te demande pas d'avoir une vie toute rose et tu peux très bien avoir un passé de mafieux ou lié à ça, Syara est civile mais avait un passé de mafieux pour exemple. Pour autant elle a tout délaissé et mène sa petite vie sans être armé jusqu'au dent Very Happy

Une punk métaleuse rebelle qui se bat me plait beaucoup mais je trouve que tu en fais trop sur ta fiche pour te donner un genre "Métaaaaaaaaaaaaaaaaal" soit plus simple Very Happy


En attente de validation

Le Shérif

Par tous les démons du Metal ! [Taïga Launwitch]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Chicago Mafia :: La Préfecture :: Présentations-
Sauter vers: