Présentation de Syara A. O'Ceallaigh [en cours]

Les roses sont rouges, les violettes sont bleues...la colère est rouge la dépression est bleue...

Caractère

Fiere : Syara est fière de sa famille, de son nom, de ce qu’elle est, elle ne renie pas ses origines ni ne tente de les cacher, elle sait y faire face avec tout ce que cela implique. Elle n’étale peut être pas ses liens avec la mafia mais elle ne va pas les cacher pour autant, pour elle le passé est une source infini de savoir et de fierté.
Protectrice : La jeune femme malgré un caractère bornée et parfois stricte, peu se révéler être très protectrice avec les gens qu’elle aime, tout particulièrement sa famille. Elle n’hésitera pas à tout laisser tomber ou se mettre à dos des gens qu’il ne faut pas pour sauver un être qui lui est chère.
Sensible : C’est aussi une femme sensible, les traces des épreuves passées l’ont rendu à la fois forte mais aussi plus sensible et prenant les choses à cœurs, même les histoires qui semble ne pas la concerné et c’est pour ça qu’elle a repris l’affaire familiale.
Impulsive : Si elle a un fort caractère, Syara est aussi très impulsive, il ne serait pas rare de la voir devenir colérique, ou bien avoir un élan d’affection envers une personne qui a eu un coup de cœur.
Familiale : Elle a la fois un comportement de chef mais aussi celui d’une sœur ou d’une mère envers ses clients. Surement pour compensé ce qu’elle a perdu et ce qui lui manque atrocement, même après les années passées.

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Derrière l'écran

L’histoire de Syara commence d’abord par celle de sa famille, ancienne famille mafieuse elle fut essouffler avec le temps, jusqu’à devenir plus une sorte de famille de mercenaire, puis protégeant une zone pour les rendez-vous entre les familles, devenant ainsi la première zone neutre de tout Chicago. Pourtant l’idée de revenir sur les bancs de la pègre n’étais pas partie de la tête de certaines personnes, prenant ainsi le modèle des Italiens, ils commencèrent à chercher des alliances pour former une nouvelle famille, mais qui assurerait la neutralité et l’équilibre des grands clans.

Et puis il y a 34 ans, vint au monde l’héritière de la famille O’Ceallaigh, elle fut élevée dans l’optique de reprendre le flambeau de sa famille, une alliance avec une autre famille fut alors envisager lorsque les deux familles se rendirent compte que les deux héritiers pouvaient se marier et ainsi assuré la descendance des deux clans. Les deux enfants grandirent ainsi ensemble, passant par toutes les étapes ; ennemies, amis, rivaux, complices, ils étaient les facettes d’une même pièce, à la fois identique et différents.

Pourtant tout ne dure jamais dans la ville de Chicago, et ils l’apprirent violemment à leurs dépens. Le mariage entre les deux jeunes gens avait eu lieux peu de temps avant cet incendie. Leurs familles a tout deux furent détruites, chassés, en une nuit, il ne restait plus rien, la jeune femme et quelques personnes faisant partie du clan recomposé avait survécue. Elle chercha pendant des jours et des jours la trace de son compagnon ou de ses proches, pleurant devant les ruines du bar de ses parents ou elle avait grandis. Elle avait tout perdu, ses proches, sa famille, sa maison, son amour, elle se retrouvait toute seule.

Les trois grandes familles mafieuses qui avaient signés un traité de non-agression était-elle dans l’affaire ou bien était-ce un groupe émergeant ? Syara n’aurait jamais la réponse à cette question. Mais malgré la terriblement perte qu’elle venait de subir elle connaissait parfaitement le rôle qu’elle devait tenir dans la ville, et elle prit sur elle pour rebâtir l’établissement de ses parents, entre l’assurance qui l’avait dédommagé et les économies de sa famille elle avait pu reprendre en main les affaires. Etrangement les trois autres familles mafieuses, comme pour respecter son deuil ne provoqua pas de grabuge, elle put même se payer le culot d’avoir des conseils auprès d’Alessandro sur le placement d’argent dans son quartier pour faire prospérer son capital.

Aujourd’hui âgés de 34 ans Syara se considère comme neutre avant tout, allant jusqu’à payer des mercenaires lors de rassemblement pour éviter tous soucis sur la neutralité. N’étant ni une dissidente, ni une mafieuse elle se considère seulement comme une civil qui assure l’équilibre dans la ville grâce à son bar qui fait office de terrain neutre.

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